Vendredi 08 mai :
Le matin, je pars pour une ascension à cheval du volcan Terevaka, dont le sommet est à 511 m d'altitude, le plus haut de l'île.
Nous sommes 3 avec le guide, et nous partons d'un ranch où les chevaux nous attendaient.
Après un court briefing, nous commençons la balade sur les chemins de terre, puis en pleine campagne, à travers champs et prairies ... nous croisons de nombreux élevages de chevaux laissés en liberté, trottant et galopant sans contrainte d'espace ... c'est vraiment magique, digne de ces reportages animaliers qui font rêver ...
Au cours de la balade, notre guide s'arrête pour nous cueillir mangues et goyaves ... les prairies sont bordées d'allées d'eucalyptus qui diffusent un parfum frais et enivrant.
Au fil de notre ascension, le brouillard s'épaissit, et je commence à perdre l'espoir de cette vue à 360 ° que l'on m'a dépeint et qui est paraît il extraordinaire... effectivement, arrivée au point culminant ... on y voyait pas à plus de 2 m !!! Je rigole devant cette malchance, l'expérience reste toutefois très agréable et l'ambiance qui règne là est bien particulière.
Sur le chemin du retour, je me régale à galoper à travers cet épais brouillard, qui s'estompe petit à petit, laissant réapparaître l'océan et un ciel clair et bleu !!! C'est vraiment pas de chance !!!
Le guide est super sympa, on s'arrête pour des photos, on discute ... on fait quelques courses de galop pendant lesquelles il me laisse gagner (lol), soulignant tout de même que je ne me débrouille pas si mal ... (lol).
Notre balade s'achève après environ 4 h de chevauchée ... et je rentre à la pension gonflée à bloc d'une énergie positive, mais toutefois, bien fatiguée !!!
Le matin, je pars pour une ascension à cheval du volcan Terevaka, dont le sommet est à 511 m d'altitude, le plus haut de l'île.
Nous sommes 3 avec le guide, et nous partons d'un ranch où les chevaux nous attendaient.
Après un court briefing, nous commençons la balade sur les chemins de terre, puis en pleine campagne, à travers champs et prairies ... nous croisons de nombreux élevages de chevaux laissés en liberté, trottant et galopant sans contrainte d'espace ... c'est vraiment magique, digne de ces reportages animaliers qui font rêver ...
Au cours de la balade, notre guide s'arrête pour nous cueillir mangues et goyaves ... les prairies sont bordées d'allées d'eucalyptus qui diffusent un parfum frais et enivrant.
Au fil de notre ascension, le brouillard s'épaissit, et je commence à perdre l'espoir de cette vue à 360 ° que l'on m'a dépeint et qui est paraît il extraordinaire... effectivement, arrivée au point culminant ... on y voyait pas à plus de 2 m !!! Je rigole devant cette malchance, l'expérience reste toutefois très agréable et l'ambiance qui règne là est bien particulière.
Sur le chemin du retour, je me régale à galoper à travers cet épais brouillard, qui s'estompe petit à petit, laissant réapparaître l'océan et un ciel clair et bleu !!! C'est vraiment pas de chance !!!
Le guide est super sympa, on s'arrête pour des photos, on discute ... on fait quelques courses de galop pendant lesquelles il me laisse gagner (lol), soulignant tout de même que je ne me débrouille pas si mal ... (lol).
Notre balade s'achève après environ 4 h de chevauchée ... et je rentre à la pension gonflée à bloc d'une énergie positive, mais toutefois, bien fatiguée !!!
Nous repartons vers 15 h pour notre seconde après-midi d'excursion ...
- Ana Te Pahu : A quelques pas de l’ahu Akivi, l’entrée de la grotte est immédiatement perceptible à cause de la végétation variée qui dépasse la surface du sol. Jardins à l’abri du vent, il y poussaient des bananiers, taro, avocatiers, vigne etc.Cette grotte, la plus vaste de l'île, servait de refuge à la population lors des razzias esclavagistes, son réseau souterrain se termine dans l’océan. Son tunnel a été formé par le durcissement d’une couche de basalte lors d'un écoulement de lave. On compte des kilomètres de souterrains menant d'une grotte à une autre sur l'île ...
- Ahu Akivi : Les 7 moais qui s'y trouvent ont été restaurés et redressés dans les années 60. Ils dominent une plaine et ont la particularité d'être tournés vers la côte (les autres moais tournent le dos à la mer). La légende dit qu'ils représentent les 1ers colons arrivés sur l'île.
- Puna Pau : C'est le lieu d'où les Pukao (« chapeau » que porte certains moais) étaient extraits, faits d'une roche rouge, et friable, le scorie rouge.
Une fois les visites terminées, nous demandons à Christophe de nous déposer, Laetitia et moi, en ville pour faire un petit tour et essayer de dénicher un moai à ramener ... Devant notre intérêt pour 2 moais sur un stand, nous négocions le prix ... et nous nous en sortons pas si mal ! Le hic, c'est qu'après il a fallu les porter !!! et c'est quand même bien lourd surtout après une journée pareille !
Nous retrouvons Eric dans un restaurant, « Au bout du monde », pour un diner ... nous sommes un peu déçus car nous pensions y trouver une cuisine locale ... or, il s'agit de plats plutôt classiques qui sont bons toutefois. Nous en avons, par la même occasion, profiter pour goûter le fameux Pisco, qui nous a rapidement tourné la tête, laissant la place à un bon fou rire !!!
A la fin de cette journée, inutile de vous dire dans quel état je me trouvais ... mettre un pied devant l'autre relevait du martyre (lol), des courbatures partout, le dos en compote ... c'était risible !!!
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